Si tu es ici, à Fairyland. C'est bel et bien pour une raison, mais laquelle ?
un pur hasard une naissance merveilleuse une obligation terrible une contrainte répugnante
Chacun à ses défauts et ses qualités. Et tout le monde possède sa force et sa faiblesse. Quelle est donc la tienne ? Es-tu (tu as la possibilité de cocher deux réponses maximum)
à mentir comme un arracheur de dents à avoir le cœur sur la main à fuir en prenant tes jambes à ton cou à avoir le courage d'un lion
Dans cet univers, Fairyland n'est pas le seul. Mais connais-tu donc les deux autres mondes qui ornent cet endroit ?
oui non
Si oui, dis-nous lequel et pourquoi ?
Alors, Wonderland, je connais de nom, et pour ce que j'en ai entendu, je n'ai pas envie d'y mettre les pattes. Par contre, Neverland, j'y suis allé. J'ai même plutôt aimé, et j'y serai bien resté toute ma vie.
Fairyland est un monde à part, emplit de magie et de merveilles. Simplement, ce monde ne symbolise pas la même chose pour tout le monde. Alors dis-nous, que représente Fairyland pour toi ?
Ben... j'sais pas. Je suis né ici. C'est mon monde, quelque part, c'est ma définition de normalité. Tout ce que je vis à côté, je compare par rapport à Fairyland. Parfois, c'est mieux, parfois c'est moins bien, mais c'est toujours étrange. C'est mon référentiel, quoi...
On a tous un passé plus ou moins chaotique. Parfois c'est ce qui fait notre force, parfois c'est ce qui nous détruit. Alors laisses-toi aller et raconte-nous une anecdote qui te rends fier ou alors qui te rends honteux. Tu as même la possibilité de faire les deux.
Bah, mon passé, ce n'est pas super joli. Je ne dis pas que c'est glauque et dépressif. Mais je n'ai pas spécialement envie d'en parler. Alors, on va faire dans le plus récent. Quand j'ai construit une maison pour Red. Enfin, Red et moi, mais à la base, c'était pour Red. Bref... Je préparais des planches pour faire je ne sais plus quoi, quand un ver de terre est sorti et a commencé à se tortiller, là, sous mon nez. Enfin, sur ma chaussure. Et j'ai un dégoût fondamental pour tout ce qui rampe et se tortiller. Presque une phobie. Je ne veux pas que « ça » me touche. Absolument hors de question. Du coup, je suis rentré en quatrième vitesse dans la cabane et c'est Rhéa qui a du se débarrasser du ver, pendant que je refusai de mettre les pattes dehors pendant trois jours. Absolument pas possible.